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13 décembre 2020

Top 5 Geoffroy

Top5

 

Pas mal de valeurs refuge pour bibi dans cette année un peu particulière. Je vous annonce d’emblée qu’il va y avoir beaucoup de voix féminines avec des guitares.

 

Allez, je vous les mets par ordre chronologique pour changer, tiens. Et puis je serais bien incapable de les ranger autrement de toute façon.

 

 

Janvier — Alexandra Savior / Saving grace.

On commence tout début janvier avec la sortie du deuxième disque d’Alexandra Savior, The Archer. Savior m’avait déjà enchanté avec Belladonna of Sadness (en 2017) et son atmosphère nocturne et légèrement lynchéenne. Ici, elle fait tout pareil et on n’en demandait pas plus.

 

 

 

Avril — Hazel English / Shaking

En rotation assez lourde sur la fin du premier confinement, la pop 60’s, acidulée, juvénilement politique d’Hazel English a égayé mes journées de printemps. C’est girly, ça s’écoute tout seul, la bande son idéale des premiers beaux jours de l’année. Youpi les hippies.

 

 

 

 

Mai — Charlene Kaye / Howl

Après un premier disque assez érudit tendance “Berklee Funk” il y pas loin de dix ans (edit : en fait, j’ai vérifié, c’était il y a 12 ans, le temps passe à une vitesse…) qui comportait notamment un chouette duo avec Darren Criss (“Skin and Bones”), suivi par un deuxième opus en 2012 sur un versant très (trop) électro-pop (je n’ai pas du tout aimé), Charlene Kaye nous a lâché un nouveau titre en mai qui augurait du très bon. L’album vient de sortir il y a quelques jours. Verdict : pas mal, mais un poil inégal à mon goût. “Howl” reste un très bon titre, qui a bien mérité sa place dans mon top.

 

 

 

Septembre — Deep Sea Diving / Impossible Weight

Encore un groupe que j’ai découvert, puis pas mal écouté pendant le premier confinement. Nul doute que si j’avais connu à l’époque de leur précédent album, un de leur titres aurait probablement déjà figuré dans mon top 2016. C’est maintenant chose faite avec Impossible Weight, single qui accompagne leur nouveau disque (qui comporte un featuring de Sharon Van Etten ce qui fait toujours plaisir). 

 

Par ailleurs, je vous prierai de bien vouloir noter que je suis convaincu du fait que Jessica Dobson fait partie des grand·es guitaristes de sa génération. Je tiens à le coucher sur le papier tout de suite pour pouvoir faire le malin plus tard en fanfaronnant que “je l’avais dit en 2020”.

 

 

 

 

Octobre —  The Weather Station / Robber

De retour trois ans après avoir réalisé un de mes albums favoris de 2017, The Weather Station nous a propose ici un nouveau titre subtil, dense, à l’image de musiciens à maturité artistique totale. On attend le reste de l’album désormais avec une impatience non dissimulée. Peut-être un des sommets de 2021 sur l’applaudimètre de ma pomme ?

 

 

 

En vrac pendant 2020 : Je me suis enfin mis à Wilco (ça faisait un bail qu’on se tournait autour, à distance respectable). Je confirme : Yankee Hotel Foxtrot n’a pas volé son statut de chef-d’oeuvre. J’ai aussi beaucoup écouté Neil Young cette année. En particulier la “Ditch Trilogy” (Times Fade Away / Tonight’s the Night / On the Beach). Ça me semblait assez adapté à l’ambiance globale, au niveau planétaire, tout ça.

 

Voilà c’est tout pour moi. 

See you next year, en espérant qu’une autre catastrophe globale ne nous tombe pas sur le coin de la figure d’ici là. Bisous, et couvrez-vous bien, ok ?

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